Retour utilisateur – Christelle Guilbert, Greystal
“Je ne vais pas appréhender de soulever ma baie si j’ai mon exosquelette sur moi.”
Retour d’expérience de Christelle Guilbert, agent de fabrication chez Greystal sur l’utilisation du Japet.W.
Christelle Gilbert, agent de fabrication chez Greystal, est équipé de l’exosquelette Japet.W. Retour sur son utilisation !
En quoi consiste votre métier ?
Je fais partie du montage carrosserie au sein de la société Greystal, équipementier de véhicules. Mon métier consiste à faire du montage au niveau des baies pour les véhicules de travaux publics.
Quelles tâches sollicitent le plus votre dos ?
Quand nous soulevons les baies et que nous les montons. Parfois, il y a une vitre dessus, ce qui rend la charge un peu plus lourde. De plus, le mouvement est répétitif. Quand nous avons une ou deux baies à soulever, ça va, mais quand il y en a 30 ou 50 à soulever dans la journée, c’est là que cela devient pénible.
Nous avons des métiers dans lesquels nous avons des charges à soulever, donc, si nous voulons tenir dans le temps, il vaut mieux se faire aider par des choses, et je pense que l’exosquelette est parfait.
Comment s’est passée l’intégration de l’exosquelette ?
Il y a eu une formation de faite, sur plusieurs heures, pour comprendre comment manipuler l’exosquelette. Les équipes Japet m’ont accompagné tout le temps, elles m’ont toujours posé des questions pour savoir si l’exosquelette me convenait ou non. Il y a eu un suivi, je n’ai rien à dire.
Quel est votre ressenti sur le Japet.W ?
Je ne vais pas appréhender de soulever ma baie si j’ai mon exosquelette sur moi. Je ne vais pas me dire : “ Tiens, là comment je vais soulever ? ”, “ Je vais souffrir ”, “ Est-ce que je vais avoir mal ? ”.
Dans mon quotidien, quand je fais mon travail, ça se fait naturellement.
Un dernier mot pour la fin ?
Si les gens ont des douleurs ou qu’ils font des travaux un peu durs, je pense que l’exosquelette peut amener un plus, pour soulager ces douleurs. Je pense que les gens, il faut qu’ils l’utilisent, il faut qu’ils essayent.